Wednesday, March 10, 2010

Une semaine Rouge de Hugo

Vendredi je passe un examen du carnet et je n'ai presque pas tout à fait de temps pour. Presque il m'oublie mettre la semaine rouge. Là il va :

Depuis le Bois dans De grand lit, la semaine rouge tourne Chamberí, d'où il n'a jamais dû sortir, puisque tout le monde sait que c'est le centre névralgique de la gauche mondiale.

Pour échantillon un bouton : Fausto Fernández a demandé à Ignacio González (le vice-président de la Communauté de Madrid qui selon les espions de Grenadiers se promène dans la Colombie avec bourses de contenu inconnu) par le terrain de golf de Chamberí, avec lequel il a fait du bien aux associés de son frère et de son beau-frère et lequel la justice a déclaré illégal. “Cela tu ne me le dis pas dans la rue”, a répondu le dirigeant du parti des hijoputas et des peignes universitaires. Le Faste est sorti à la rue, il a pris un ordinateur, et on l'a dit dans la rue.

Le 16 février 1936 le Front Populaire a vaincu dans les dernières élections démocratiques dans beaucoup d'années : la droite lui a dit à la citoyenneté que cela on ne le disait pas dans la rue. Dans l'Acier Blochevique nous avons lu un souvenir de cette victoire de la gauche et, donc, de la démocratie. Tandis que, Rafa nous comptait depuis Kabila quelques journées intenses sur une mémoire historique.

La semaine politique a tourné sur nouveau un mantra à la mode : un pacte de l'État qui nous permet de renoncer à certains droits acquis et à n'importe lequel que nous cherchons à conquérir. Inés situait le débat en face des mots creux. Dans le Congrès des Députés il était discuté, probablement, sur la crise. Dans les moyens on ne pouvait pas trouver le discours de Gaspar Llamazares, délégué de la troisième force politique : il fallait le chercher dans le blog d'Àngels. Parfois les députés gagnent le salaire, par beaucoup de démagogie qui existe à ce sujet : viul il réfléchissait aux rémunérations et aux privilèges de nos hommes politiques.

Sans nécessité de pactes, presque tous les partis se mettent d'accord dans quelques choses : tandis qu'en Hollande cassent les gouvernements pour sortir de l'Afghanistan, en Espagne la Commission de Défense a autorisé l'envoi de plus de troupes à la guerre avec le vote pour du parti socialiste espagnol, de PP, de CiU, PNV et UPyD tandis qu'IU maintenait le drapeau de Non à la guerre. Ceronegativo nous le comptait en se demandant par la pince fameuse. Tandis que, dans Diseccionando Pays nous voyions les manipulations qui existent sur cette guerre d'occupation : nous pouvons voir sur des photos des soldats d'infanterie navale un Américain en défendant un père et sa fille des mauvais talibés … Le mauvais consiste en ce que le même père et la même petite fille sont défendus par des soldats d'infanterie navale distincts et dans des poses distinctes à des éditions distinctes des quotidiens ce qu'il fera qu'un méfiant soupçonne que la photo n'est que théâtre pour nous convaincre des bontés de la guerre.

Pour la pince qu'il faut mettre dans le nez après avoir vu comment la mairie dans laquelle je vote plus le parti socialiste espagnol il l'y a de l'Espagne, de parla (Madrid), un sol public se régale pour une école ordonnée. Dans les Mouches dans la Soupe on signale par réussite que ce qu'il nous devrait différencier à la gauche est la défense du public.

Dans la RASD une course cycliste solidaire avait lieu avec le peuple saharien de celle qui se doit un compte dans Gotes d’aigua. À l'Euskadi c'était Mikel Arana qui réfléchissait à la possibilité d'obtenir la paix à la suite de la déclaration récente de la Nationaliste basque Gauche. Et Luis Ángel Aguilar nous comptait l'initiative curieuse des Pazyasos. Et tandis que tant de gens font des choses pour obtenir un monde plus juste et pacifique, les autres suivent engagés dans la censure, la menace et l'inquisition : dans L'Espeto Victorien on dénonçait la victoire de l'intégrisme chrétien qui a réussi à fermer une exposition parce qu'il ne plaisait pas aux nouveaux torquemadas que d'autres personnes pussent librement la voir.

Enfin, je veux signaler un texte qui m'a beaucoup plu : nous sommes un pays dans lequel il y a très peu de militantisme politique et dans lequel la culture peu abondante démocratique stigmatise le militantisme politique. C'est pourquoi il fait une illusion voir comment l'utilité du militantisme est reconnue quand nous profitons d'elle pour donner une voix aux collectifs qui n'auraient pas de voix sans IU. Manolo Lay compte son cas, qui est représentatif de certains des gratifications que le militantisme permet dans la Gauche Unie.

La semaine prochaine La Semaine Rouge sera élaborée par Lidia. Comment ça va très loin de Chamberí, il est possible qu'il ne lui sorte pas mal. Ayons confiance en cela.

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