Thursday, March 25, 2010

Un exemple d'honnêteté

Ici vous avez un exemple de personne honnête :

J'habille dans le blog de Pierre Mellado.

Tuesday, March 23, 2010

Cherchez-moi ici

Je pars cagando un lait pour l'assemblée et la fête postérieure, de l'athénée républicain de Carabanchel. C'est une assemblée ouverte dans laquelle il va être essayé de donner une impulsion à cette organisation. Pour voir si nous sommes capables entre tous / un as.
Si vous êtes ennuyés, venir qu'il y aura une bonne atmosphère.
Nous nous voyons.

Saturday, March 20, 2010

Le problème est beaucoup plus sérieux qu'il paraît à simple tu as vu. Des pointages sur Herman Tertsch et sa raclée fameuse

Quel plus long titre.
Herman Tertsch est un journaliste qui a atterri depuis peu dans la zone journalistique la plus rentable à l'ouest du Missisipi : La Communauté de Madrid. Il est évidemment très rentable si tu es disposé à manipuler, à mentir, à manquer à la réalité, à inventer ou tout autre synonyme qui vous vient à l'esprit.
Dans tous côtés ils cuisent des fèves. Tous les médias répondent aux intérêts de groupes patronaux qui ont, logiquement, les intérêts politiques qu'il les fait prendre part à quelques ou d'autres gouvernants.
Dans tous côtés ils cuisent des fèves, et dans tous côtés il donne un peu d'un dégoût lire des journaux déterminés. En Estrémadure nous avons un exemple très bon à ce qui est le journalisme débonnaire, Aujourd'hui. Il n'est pas excessivement manipulateur, il fait simplement comme il faisait avant Le Pays, je décide qu'est-ce que c'est une nouvelle et ce qui le n'est pas. Il peut le faire parce que c'est celui de plus grand lancer régional.
La grandeur de ce journal consiste en ce qu'il est capable de parler bien toujours du gouvernement, soyez qui est. Dans l'assemblée il loue le parti socialiste espagnol, dans des villes comme le Badajoz où il gouverne le PP il fait le propre.
Dans tous côtés ils cuisent des fèves, mais le de la CAM c'est quelque chose qui n'est pas vu dans tous endroits. Je crois que Valence pourrait être comparée seulement. Ici nous avons eu les cas dans lesquels des conseillers autonomes ont menti (je me réfère au cas Lèche-la et les sédations fameuses) effrontément, et un vaste coryphée de mariachis du plus merdique, un écho de ses mensonges a été pas fait, mais ils ont théorisé, réfléchi, argumenté, débattu... dans la ligne qui marquait le pouvoir.
Il a passé par tel niveau que Telemadrid, / saisis la télé de tous les madrilènes / as il a les plus bas niveaux d'audience de son histoire. Jusqu'à tel point que si sort un écran chez un noir par une grève, le niveau d'audience suppose 10 % du bas de la chaîne.
Ici à Madrid, la vérité et le respect pour la réalité depuis longtemps qui ont été expulsés de la communauté.
Ils ont frappé Herman dans un bar de verres, tant de l'aube, et l'oncle n'était pas capable de ne se souvenir ce qui avait passé. Ne vient pas à l'esprit à l'oncle une autre chose à dire que c'est une agression idéologique. Et voilà qu'il accuse le Grand Wyoming à générer un climat de haine. Cela dit l'oncle qui a dit : "s'il avait à tuer 15 ó 20 membres D'au Qaeda pour libérer trois compatriotes, il le ferait sans le moindre doute".
De ce sujet la présidente de la communauté a parlé, des espaces ont été donnés dans des journaux télévisés, des articles d'opinion, et tout un coryphée de mariachis du plus merdique, ils se faisaient pas seulement un écho de ses mensonges, mais ils théorisaient, réfléchissaient, argumentaient, débattaient... dans la ligne qui marquait le pouvoir.
Herman disait que les auteurs matériels de tel crime pouvaient être "des maures, antifascistes ou des gens normaux du cinéma ou de la SGAE". Enfin, il s'est trouvé, le propriétaire d'un bar de verres, au-dessus d'une droite.
Mais ça est égal. Ici à Madrid, depuis les ressorts du pouvoir, quelqu'un pourrait dire qu'Il Donne de l'espoir à Aguirre il a accompagné Colomb dans la découverte de l'Amérique, qui a découvert la pénicilline ou a accompagné Armstrong, Collins et Aldrín dans le premier alunissage, et sérieusement, vous pouvez me croire, qu'il y aurait tout un coryphée de mariachis du plus merdique, qui se feraient pas seulement un écho de ce mensonge, mais ils théoriseraient, réfléchiraient, argumenteraient, ils débattraient... dans la ligne qui marque le pouvoir.

Friday, March 19, 2010

L'homme est-il arrivé à la lune ?


Je compte quelques jours en discutant cela avec une collègue. Je reconnais que le long de ma vie j'ai pensé tout ce qui pouvait penser à cela (à une faveur ou dans contre. Il n'y a plus). Sachez qu'aujourd'hui je pense que oui il a passé. Sachez aussi que pendant quelques périodes de ma vie j'ai pesé le contraire.
Je sais toutes les théories : que si l'éclairage, que si les ombres, que si les traces du trasbordador, que si le drapeau, que si la C sur la roche, que si les costumes... Et un espace, toutes avec arguments dans l'un ou un autre sens.
Il vaut, je sais que c'est une connerie, mais je me suis sérieusement retourné à râper.
Certes, je recommande un documentaire très amusé sur ce sujet. Je vous compte ce qui m'a passé :
Dans cette époque je pensais que je pouvais avoir une course enseignante, et j'étais lié par mon tesina aujourd'hui abandonnée. Le cas consiste en ce que mes collègues d'étage sont sortis tous, tandis que je continuais de brûler des sourcils devant l'ordinateur.
À une heure déterminée de la nuit, j'ai décidé de me mettre un verre (accompagnée de quelques pistaches), m'asseoir devant la télé et voir la première connerie qu'ils jetaient. Le cas consiste en ce qu'en terminant le verre, déjà avec idée d'aller me coucher, j'ai fait la révision typique à toutes les chaînes. Quand je vais par 2, je me vois à Kissinger. Vous devez savoir qu'avec Bela Lugosi et Ignacio González, il est à mes personnages favoris de terreur.
Dès que je m'arrête. Je vois que la note parle de la nécessité de lutter contre les communistes, parce qu'ils gagnaient le départ. J'écoute attentivement. Je ne sais pas à quel départ il se réfère. Me pogo nerveux.
Donald Rumsfeld sort et il parle de l'Union soviétique. Ils me commencent quand ont tremblé les jambes et je décide de me mettre un autre verre.
Tout à coup ils commencent à sortir entrevues à des gens de la NASA, la CIA et du sé qu'un lait plus, tous en parlant de l'Apollon XI.
Il l'avait attrapé commencé, mais ils parlaient du voyage en lune. Tout à coup, tous commencent à reconnaître que c'était un montage de propagande pour compenser les avances du champ socialiste. Des annonces. Je des nerfs regarde la montre (il être 2 heures ou une chose pareille) trop tard pour que quelqu'un décent fût éveillé, et pour que les gens qui étaient éveillés l'intéressassent le sujet.
Ce ne pouvait pas être certain. Ils reconnaissaient l'une des plus grandes tromperies de l'humanité. Et j'étais la personne unique qui le voyait!
Il recommence à commencer le documentaire et je vois qu'il est français (ou je l'ai regardé dans iternet, je ne me rappelle pas). Tout s'encastrait.
Mes yeux étaient plus attentifs que quand ils lisent le blog du fils rouge. Ils chantaient le traviata.
Quand il finit déjà, quand il était tout démontré, quand la tromperie avait été découverte... salez les lettres, et les personnes recommencent à sortir dans un plan Making Off.
Kissinger sort en disant quelque chose dans un plan : "ai-je à répéter la prise ou il est resté croyable ?"
Le directeur de la CIA (ou le FBI, je ne le rappelle pas) sort en reconnaissant un peu de chungo, et en coupant la prise parce qu'il est commencé à descojonar.
Salez quelques lettres dans lesquelles on remarque que tout avait été une plaisanterie.
Maudits! Ils m'avaient recommencé à tromper.
Le documentaire de clairières est ce. Eh bien, c'est un fragment.
Enfin, sérieusement : qu'est-ce que vous pensez ?
Streaming NCIS Los Angeles S01E18 Blood Brothers free

Une Union Je Progresse et la Démocratie. (I)


Depuis l'apparition de ce parti, tout le monde les regardait avec méfiance parce qu'il n'avait pas le goût de celui qui nuisait. Au commencement les craintes étaient sans fondement. Aujourd'hui nous avons des éléments suffisant pour voir qui doit s'inquiéter.
Nous allons jeter un oeil à une enquête :
J'ai besoin que vous regardiez ces tréteaux du CIS. Ces enquêtes sont faites en demandant aux mêmes personnes, des années après, pour voir son comportement / évolution. Partir pour la question 47. Il est lu par des files, non par des colonnes.
UNE QUESTION 47 PROCÈDE DE P45. SEULEMENT À CEUX QUI SONT ALLÉS VOTER ET ONT VOTÉ DANS LES ÉLECTIONS AU PARLEMENT EUROPÉEN DE 2009 (5 dans P45). Pourrait-il me dire le nom du parti ou de la coalition pour lequel Vous avez voté dans les élections au Parlement Européen de dimanche passé, 7 juin ?
Parti socialiste espagnol PP IU/ICV UPyD Coalición par l'Europe l'Europe des Peuples Verts d'Autres partis En un blanc N.C. Parti socialiste espagnol TOTAL % 87.3 4.2 1.5 0.9 1.0 0.8 0.7 1.0 2.6 100.0 (N) (870 () 42) (14) (8) (10) (8) (6) (10) (25) (997) PP % 0.4 94.5 0.4 1.7. 0.4 0.2 1.0 1.5 100.0 (N) (2 () 599) (2) (10). (2 () 1) (6) (9) (634) IU/ICV % 19.4 1.3 66.4 1.0. 1.8 1.8 2.4 5.9 100.0 (N) (13 () 0) (44) (0). (1 () 1) (1) (4) (67)
Comme vous pouvez vérifier, des gens qui nous ont votés dans les règles générales, il nous a tournés à voter chez les européennes 66,4 %. Pour le parti socialiste espagnol il nous part 19,4 %, et pour UPYD 1 %. Pour le PP ils nous sont partis 1,3 %. À un niveau électoral nous devrions plus nous préoccuper des votes que nous perdons dirigés au PP qu'à UPYD, puisque tant un pour cent est plus grand.
Mais suivons.
Des votants du parti socialiste espagnol dans les règles générales, 0,9 % ont voté au parti de Rosa Diez chez les européennes. Dans le cas du PP le pourcentage précité monte 1,7 %. Comme le PP et le parti socialiste espagnol ont beaucoup de plus de votes qu'IU, ces pourcentages sont ceux qui façonnent la grosseur des apports de votes qu'UPyD d'autres partis reçoit.
Pour le porter à des termes absolus, en prenant les résultats des règles générales, et en appliquant les pourcentages avant mentionnés, la chose resterait plus ou moins ainsi :
PP : 172.889
PARTI SOCIALISTE ESPAGNOL : 99.580
IU : 9.630
Ces données absolues ne sont pas pour rien certains, c'est une estimation après avoir appliqué les pourcentages d'avant. Je les ai mis pour qu'ils donnent une claire image dont nous parlons. Des 449.499 votes qu'ils ont obtenus chez les européennes, nous pourrions dire qu'autour d'environ 10.000 elles étaient des personnes qui nous ont votés dans les règles générales.
Du PP et du parti socialiste espagnol il a gratté environ 272.000.
Les nombres parlent pour soi seuls.
Un niveau électoral à peine son apparition nous touche, puisqu'il est à ceux qui il leur prend des votes au parti socialiste espagnol et au PP.
Maintenant, demain ou un passé nous parlerons d'une fiction politique ayant pour centre UPyD.

Thursday, March 18, 2010

Une semaine Rouge

La Semaine Rouge est comme le Guadiana, apparaît et disparaît selon son caprice. Pour le moment, il recommence à apparaître.
Et curieusement, il apparaît dans la semaine que l'un des blogueros les plus importants de la gauche politique, annonce qu'il disparaît temporairement. Comme il est un oncle de mot, nous savons que son je "reviendrai" il s'accomplira et plus tôt qu'il tarde nous (attendons), il recommencera à partager avec nous ses réflexions.
Pendant ce temps, l'autre qui recourt à la mode guadianil, est celui qui écrivait avant chez le fils rouge, qui maintenant nous enchante avec ses réflexions chez des zéros. Sa deuxième réflexion dans un proverbe blog, dans une ligne avec ce qu'il a l'habitude d'écrire, va sur un sujet si important comme peu traité : une eurovision. Si tu révises les blogs d'iloveiu, il n'a pas pas tout à fait écrit sur le sujet avec tant de qualité.
Une prise de courant nous alertait cette semaine sur la croissance d'un nouveau type de terrains vagues horribles, les terrains vagues en ciment. Il n'avait pas entendu parler de ce sujet, mais je crois qu'il mérite une réflexion plus sérieuse de notre part.
Dans des mouches dans la soupe on réfléchissait aux gourous de l'économie. Les mêmes qui n'ont pas vu la récession économique, et qui donnent maintenant des recettes pour sortir d'elle.
Inés, l'une de nos députées blogueras, écrivait tranquillement, je calme et beaucoup de connaissance, sur la polémique des derniers jours mise en rapport à l'immigration, au recensement et les mairies déterminées qu'il leur plaît sauter la loi. Dans l'optimisme de la volonté ils nous considéraient quelque chose comme très nouveau dans IU, une nouvelle publiée dans un moyen de communication qu'il parle de nous, et il dit quelque chose qui n'est pas vrai. Je crois qu'il est convenable de le détacher ici pour que tout le militantisme connaisse ce cas.
L'un de nos blogueros les plus anticléricaux, dans l'un de ses blogs multiples, nous informe d'une découverte de caractère biblique.
Un autre bloguero qui écrit comment la rivière qu'il passe par l'Estrémadure, nous enchante cette semaine avec un écrit à une allure moyenne entre le twitter et un post. Un nouveau genre ? Vous allez savoir. Ceronegativo nous informe que le parti socialiste espagnol n'est pas très conformément à la marche contre la corruption qu'IU organise. Je porte depuis le jour que je l'ai lu, en cherchant une information pour lui dire qu'il est erroné. Comment allait être un parti contre une marche qui dénonce la corruption ?. Mais je n'ai encore rien trouvé. Pour finir, Angels nous informait le primerita, que J.J. Nuet, un surnom senator, avait été élu secrétaire général du PCC. Des félicitations aux deux, à l'une par le primeur, et à l'autre par sa nouvelle responsabilité. Espérons que Nuet est invité un jour à une tige avec une ration de caillettes à la madrilène pour le célébrer.

Mon week-end


Mon intention est de communiquer ce week-end dans deux événements si intéressants, comme importants :
- Samedi je veux être dans le FSM, concrétamente dans deux talleres:1) 32 - des Mouvements sociaux et des partis politiques : des relations de conflit, des relations nécessaires. (Un samedi 9 ´30-14h). Où il communique un certain bloguero.
2) 23 - Le Reverger. Je trouve par la Souveraineté Alimentaire de producteurs / as et de consommateurs / as d'aliments écologiques de Madrid et d'environs. (Un samedi 9 ´30 - 18´ 30 h). Qui pour ceux qui suivent ce blog, savent que c'est une chose qui me préoccupe assez.
Et tout de suite dimanche, je participerai à la marche contre la corruption.
Un week-end, completito, completito. Mieux que continuer de voir à la maison un cinéma de quartier.

Wednesday, March 17, 2010

Une semaine Rouge d'Angels

Je vous laisse avec le résumé hebdomadaire du meilleur du rojosfera. Cette semaine, à des mains de la collègue Angels :


Je recueille le témoignage de Viul dans une semaine rouge qui est restée résumée, en fait, à un long week-end intense dans lequel ressortent trois éléments fondamentaux :

- la folie (qui semble déjà irréversible) du Conseil des ministres et des mesures "elucubradas" vendredi passé;

- la marche contre la corruption de Seseña à Madrid;

- et le Forum Social célébré à Madrid et à Barcelone avec participation de distint@s compañer@s d'IloveI. Cependant, le premier sujet emporte la plupart de commentaires :

L'épisode demencial du gouvernement.

pensionistas.jpg Les mesures vendredis du Conseil des ministres crient au ciel. Déjà mercredi notre ami bloguero RGAlmazá n nous avançait depuis son Kabila les désirs de la patronale, des mutualités de sécurités et : comment non! de la banque d'Espagne, dans : Allez trois pattes sur une banque!. Et celui qu'il prévient n'est pas traître, parce que vendredi ces désirs pervers se sont accomplis en grand partie. À des peu d'heures du bruit de casse, dans les Mouches dans la Soupe les couleurs le sortaient au ministre Corbacho, une montre à une main :" Quatre et vingt et Corbacho sans démissionner". De sa part, Hugo a aussi traité du sujet en terminant avec un avis tranchant pour des navigateurs et en affirmant que le parti socialiste espagnol est d'une manière suicidaire, tandis qu'Alberto Garzón se renverse dans la pédagogie et il se demande socratiquement: Vraiment les pensions sont-elles dans un danger ?. Dès le Pays Basque, Mikel Arana, voit de plus en plus d'arrière-plan l'âge de mise à la retraite, et peut-être, à la manière d'un résumé, pouvoir proposer l'opinion d'Antonio Rodríguez dans le sens où, de suivre ainsi les choses, la sortie de la crise ne sera pas sociale.

Déjà je sais, ou bien je sais que le droit vendredi et le sujet des pensions a emporté la moitié de la sélection (et je suis encore resté avec envies de citer otr@s compañer@s, donc je leur recommande une promenade l'agregador d'IloveIU), mais plus on veut porter le Gouvernement de nos droits...

Cependant, une marge reste pour faire la sélection des blogs qui traitent les autres deux sujets qu'il annonçait :

marcha-sesena.jpg

Sur la marche contre la corruption :

Une Gauche Unie a aussi su ce week-end sortir une poitrine, dénoncer la corruption sans cheveux dans la langue, et défendre Manuel Fuentes, maire de Seseña, bien que certains ont utilisé inclus Facebook (selon un compte Pierre Mellado) pour s'opposer avec trop de grâce piquante et pour faire le portrait dans un sépia entre de ceux qui n'appuyaient pas la marche ni à Manuel Fuentes.

Cependant, la convocation a été un succès, comme il l'évalue aussi le propre Manuel Fuentes interviewé dans le blog de ceronegativo, qui a attendu bref laisse une constance de comment cela a rempli demain l'Athénée jusqu'au drapeau (dans ce cas, rouge et républicaine). Une invitation aimable à sentir l'orgueil à être à IU nous la trouvons aussi, avec photos de la marche, chez des zéros.

Un forum Social à Madrid et à Barcelone :

fscat-014-red.jpg À une côte, aussi de pécher par l'orgueil (mais ils savent déjà, que s'il y a quelque chose de bon, sûr que quelqu'un ajoute du poivre lui en disant que c'est un péché), je ne peux pas arrêter de recommander La Voleuse, où Toni Barbarà explique l'atelier de santé dans le FSCat, et il célèbre que l'association de citadins et de citadines Dempeus per le Salut Pública (qu'une bonne guerre a donné malgré son âge petit) accomplit aujourd'hui, le 31 janvier, sa première année de vie. Et bien qu'il paraisse à un taureau passé, on ne perde pas non plus le vidéo promotionnel du Forum Social de Madrid qu'ils peuvent voir dans Le blog de dAv! d. Ce qui est dénoncé dans le même n'a pas, pour le moment, de date limite de consommation.

Et comme nous ne pouvons pas oublier de l'Haïti, je les laisse avec la recette d'un gâteau succulent solidaire fait par David Montilla (que je sais, rien à voir du President) et son fils.

Et la semaine prochaine, plus et mieux, dans Kabila.

Tuesday, March 16, 2010

Dans Chamberí ils sont contents

Allez, allez et voyez.

Seseña comme exemple de la politique

Il vous commentait l'autre jour qui avait l'intention de participer à la marche contre la corruption. Et ainsi j'ai fait.
Hugo dit, que la marche a eu un peu d'une autoconfirmation du militantisme. Et voilà qu'il a beaucoup de raison. Le fait que le PP, le parti socialiste espagnol, UPyD et beaucoup d'autres organisations politiques n'ont pas voulu s'ajouter à la marche, ils ni ont montré s'il veut son appui, il donne un bon échantillon de la caractérisation politique de chaque organisation.
Pour IU, non comme pour le PP-PSOE-UPyD, etc., la lutte contre la corruption est quelque chose de prioritaire. Pas seulement prioritaire, c'est quelque chose de réel. Les peu de cas de la corruption que nous avons eu, se sont rapidement mis dans une quarantaine. Et quand il a fallu les expulser, ils ont été expulsés.
Même le parti socialiste espagnol a eu le toupet de critiquer la marche contre la corruption.
Dans d'autres partis ils ont à t'attraper in fraganti avec la table roulante des glaces, pour que peut-être ils t'ouvrent une procédure de renseignements.
J'ai un collègue qui dit que nous rendons un prosélytisme peu nombreux. Il a raison. Comme est la cour, c'est le moment de recommencer à dire que pas tous sommes égaux, que tous commettons nos jugements, mais qu'il y a des jugements et des jugements.
L'initiative de la marche contre la corruption, je considère que c'était un succès. Il pourrait avoir été meilleur, sans doute, mais en tenant en compte que c'est la première fois dans beaucoup d'années que nous montons un procédé de ce type, nous pouvons être contents.
Le militantisme d'IU a une envie de recommencer à prendre la rue.
Et une perception sortie n'est pas de rien. La marche finissait en athénée de Madrid. Ce n'est pas qu'il ne prenait pas d'âme dans l'athénée, c'est qu'il y a eu des dizaines de personnes qui ont eu à rester dehors.
Ce blog n'est pas acritico avec rien, donc je ne crois pas être suspect d'oficialista dans aucun endroit. Dès que je peux tranquillement donner les félicitations à qu'est venu à l'esprit l'inicitiva, à qui existent currado depuis le principe et ceux qu'ils l'ont transformés en question de toute l'organisation.
À tous ceux-ci / un as, a profité pour leur faire une pétition : Nous voulons plus.
Il remarque : Comme toujours, le zéro a quelques reportages de photos et de vidéos très complet pour tous / un as cela / as que vous n'avez pas pu aller. Comme certaine encore une fois Pierre Mellado, il s'est uni à cette mode.

Monday, March 15, 2010

Une lettre Au Pays

Un cher défenseur du lecteur Du Pays :
Je lis avec étonnement que selon une enquête que vous avez chargée l'entreprise Metroscopia, qui a l'habitude de faire les sondages que vous publiez, le PP apmplía son avantage sur le parti socialiste espagnol dans presque 6 points en pourcentage de différence.
Je peux aussi arriver à connaître le niveau d'acceptation de la politique exercée par le gouvernement et le parti d'opposition principal. Ou celui que créent les sondés qui il va gagner les proches élections.
Grâce à cet article de Fernando Garea, http://www.elpais.com/articulo/espana/PSOE/acelera/caida/elpepunac/20100207elpepinac_2/Tes, je peux savoir que 64 % de sondés désapprouvent la gestion de l'Exécutif, que 76 % disent ne confier peu ou pas tout à fait dans lui et que de plus il coïncide dans un pourcentage avec ceux qui considèrent que le Cordonnier prend des décisions sur la marche.
On fixez qu'en sachant tout cela, ce que je ne sais pas est ce qui pense 19,1 % de ce pays. Et je ne le sais pas parce que je comprends qu'elle ne permet pas à vous, l'envie de le publier.
Selon son étude, nous n'avons pas le goût de celui qui voterait presque 20 % des Espagnols. Nous ne savons pas pas seulement la fiche técina, ce qui donne ce que beaucoup penser sur la transparence de l'enquête précitée, si non que nous voyons cercenada l'option de vote de près de 2,3 millions des Espagnols.
Avec les vents qui courent, ils ne devraient pas mépriser 20 % de la population, puisque avec la multitude de médias qui existent, peut-être ils pourraient perdre 20 % de lecteurs.

Sunday, March 14, 2010

Le vrai coup du gouvernement et de la patronale

Dans la semaine que le gouvernement nous annonce, entre d'autres choses, le pensionazo; la montée de l'âge de mise à la retraite de 65 à 67, Delphi, une entreprise automobile qui a un siège l'Andalousie, annonce qu'il va à prejubilar aux travailleurs qui ont 50 ans.
Le coup est très bon.
Sans connaître les conditions de travail de Delphi, je peux me faire à l'idée de ce qu'une sécurité que les travailleurs qui font une ronde 48 ans dans cette entreprise, doivent avoir quelques conditions acceptables comme est la cour.
Qu'est-ce que Delphi fera, et comme elle, des milliers d'entreprises carroñeras de ce pays ? Avec les nouvelles mesures que le gouvernement cherche à prendre, prejubilará aux travailleurs qui ont moyennement des conditions ouvrables dignes, et il commercera les gars qu'il peut jeter au lieu de par 45 jours par 33.
Fixe-vous en détail dans ce qui arrive : le gouvernement dit qu'il baisse le prix du licenciement de 45 à 33 ans pour promouvoir le travail chez les jeunes hommes. L'entreprise, il prend et prejubila à des travailleurs à 50. Comme l'entreprise a à continuer de produire (quand as vu tu comme tu te crois qu'ils se paient ces demeure), il commerce ces nouveaux gars, qui ont moins de droits et sortent plus de ventes.
L'état se fâche, parce qu'il dit qu'il y a beaucoup un faux-bourdon en suçant du bond, et qu'il faut monter les pensions par 67 ans pour qu'il ne casse pas le système de pensions. Un curieux, quand l'état pourrait ne pas donner le bon à la préretraite de 50 ans. Mais alors le jugadada ne sortirait pas bien.
Quel est le résultat de tout cela ?
Puisque quelques postes qui avaient quelques conditions relativement dignes, sont devenus quelques postes précaires, et c'est pourquoi bien d'autres rentables. Où avant il y avait un / à trabajdor/a à celui qui était plus difficile de jeter, que par des années travaillées dans l'entreprise la sécurité qui n'avait pas de mauvais salaire, qui avait une culture de revendication.... maintenant nous l'aurons envers un / à chavalito/a envers celui qui peut se quitter de la manière plus facile (à l'être le plus bon marché), qui aura un salaire beaucoup plus bas, qui par la peur d'être jeté (puisque maintenant il est plus facile de jeter les jeunes hommes) sera beaucoup moins revendicative et qui dessus on aura à être en travaillant même 67.
Qui est-ce qui est sorti en gagnant et qui est-ce qui est sorti en perdant dans ce coup ?
Pour qui gouverne ZP ?
Et le pire de tout consiste en ce qu'ils nous diront que cette mesure est de pour promouvoir l'emploi, et nous le nous croirons.

Une semaine Rouge de kabila

Depuis Kabila, en prenant la relève d'Àngels, ici je les laisse avec la sélection de la semaine d'IloveIU :

Plante l'un des sujets c'était le soi-disant pensionazo, sur lui quelques blogueros ont écrit. Alberto avec rigueur et sagesse a écrit depuis son Altereconomía. Ils l'ont aussi fait certains de nos droits institutionnels. C'est le cas de Nuet, de Gras et de Mikel Arana, entre les autres.

Il y a des sujets qui sont toujours incandescents pour la gauche. Surtout quand ils sont en danger les décisions qui prennent et on essaie de donner des marches arrière avec privatisations. Ainsi Àngels compte comment il voit les Terrains marécageux l'avenir de la Santé, de Fenêtres parle de blinder un minimum pour l'Éducation et Leolo fait une comparaison savante et documentée sur le chemin qui prend le Logement avec l'actuel gouvernement autonome basque.

Et comme non, il y a toujours un grand souci par des sujets des appelants comme l'Égalité, le Boulot critique précisément le manque d'égalité qui règne dans l'Académie Réelle. Hugo, entre dans un autre sujet inquiétant – la corruption - et fait une comparaison opportune entre deux faits qui se sont produit cette semaine.

Une autre question mediática de la semaine a été la situation de l'ATC (l'euphémisme par lequel on connaît maintenant au cimetière nucléaire), et Alvaro a parlé de cela depuis le Bois et, enfin, nous voyons comment depuis sa carrière, Fernando, nous compte que le Parti de droite d'Alpedrete, - immergé dans une “corruption présumée urbaine” - il ne vote pas en faveur de la réparation de la mémoire de Miguel Hernández dans l'année de son centenaire, mais moins de malheur : une alléluia, nous sommes sauvés! — sa mairesse reconnaît que Franco “a fait quelques choses mal”.

Cela a été tout par cette semaine, la proche prise le témoin Álvaro depuis le Bois dans De grand lit.

Une santé et une République

Saturday, March 13, 2010

Une Union Je Progresse et la Démocratie (II)

J'ai écrit il y a quelques semaines un post en expliquant pourquoi UPyD ne devait pas nous causer beaucoup de maux de tête à un niveau électoral.
Je n'ai pas l'habitude de faire futorología, il ne me plaît pas jouer à advinar ce qu'il peut passer. Mais oui que je considère qu'il faut tenir en compte les espaces possibles qui peuvent arriver à se rendre dans l'avenir, pour être prévenu devant ce qui arrive.
À Madrid nous devons aller en nous préparant à l'irruption institutionnelle d'UPyD. Ce parti s'est nourri d'un discours españolista, totalement vide dans beaucoup de sujets. La droite mediática a utilisé Rosa Díez sur des couvertures et des nouvelles de beaucoup un espace, quand il critiquait le parti socialiste espagnol dans des sujets relatifs au modèle de l'état.
Dans le reste de sujets ni une position les connaît, on les ni attend.
C'est très probable qu'UPyD entre fortement dans quelques endroits. Il est très probable qu'à Madrid un votant attrape beaucoup une ville aguirrista mécontent avec Gallardón, et que dans le reste de communauté boiteuse des votants gallardonistas rassasiés d'Aguirre. À cela un vote faudra l'additionner il proteste et des ex-votants désenchantés du parti socialiste espagnol.
Où ne va-t-il {-elle} pas gratter une boule ? Eh bien, je parie un dîner auquel dans les endroits où le parti socialiste espagnol a un discours españolista et il n'y a pas de PP séparé, ne va pas sortir rien. Attentifs comme les résultats qu'il obtiendra en Estrémadure ou en Castille la Tache.
Quel sera son parcours ? Eh bien, c'est un parti ultrapersonnaliste. Les partis qui pointent tant sa politique sur une seule une personne ont le problème que quand disparaît cette personne, ou il commet une erreur grosse, ils se dégonflent. Dans ce parti personne ne fait d'ombre à son leader, et qui la lui fait, elle finit dehors.
Ou ils changent beaucoup les choses en UPyD ou il aura le parcours que Rosa Díez a.
Tandis que le PP était loin dans les enquêtes, dans la droite mediática ils avaient beaucoup de terrain. Tu interviewes à fond, des couvertures, des minutes par des rayons et des télévisions... Mais maintenant que le PP peut être près de gagner les élections, la chose change. Avec le pouvoir il n'est pas joué.
Dans un an, après les sergents de ville, si s'accomplissent les expectatives et dans quelques institutions madrilènes ils font disparaître les majorités absolues, en pouvant UPyD jouer un rôle d'arbitre, il va leur toucher être défini.
Et cela peut devenir le principe de la fin. Il aura que posicionarse pour appuyer le PP ou le parti socialiste espagnol.
Tout de suite ils peuvent appuyer n'importe lequel de deux. Mais après avoir à se tourner vers l'un ou par l'autre, inévitablement, il va s'éloigner de la part de son électorat, puisqu'il aura à se concentrer sur un secteur, et il commencera à concourir ouvertement avec l'un de deux partis majoritaires. Et là les plaisanteries se termineront. Avec le pouvoir il n'est pas joué.
Le PP a un clair pari pour être le parti de la droite. Il attrape depuis la d'extrême-droite (où est le pourcentage de vote l'ultra-droit qui existe dans d'autres pays de notre environnement ?) jusqu'au centre.
Le parti socialiste espagnol perd déjà assez de votes par la gauche, comme pour aussi perdre par le centre.
De plus, il fera disparaître le stigmate "d'outsider" qu'il a maintenant, puisqu'ils seront visualisés comme encore un parti.
Cet espace politique, à nous il nous est très favorable, puisque nous aurons à 3 partis en concourant par le centre, et nous aurons un vaste espace pour lequel lutter, l'espace de la gauche.
Nous devons pointer notre action sur des sujets économiques, parce que là il est où notre différence sera clairement vue, et tous ses pareils.
Tandis que nous faisons une claire défense des services un public, des droits des travailleurs, des impôts directs, d'une distribution de la richesse, de la défense de l'environnement... nous serons vus comme différente organisation, parce que dans cela UPyD, PP et parti socialiste espagnol ont à peine des différences.

Une semaine Rouge le Bois dans De grand lit

Ici ils l'ont :
L'Est une semaine dese le Bois dans De grand lit pour ceux que nous façonnons I love IU a été un peu mû, puisque se sont fréquentés beaucoup de sujets dans la même et d'avance je dis qu'il a été très compliqué de ma part de pouvoir réaliser un résumé.
Internet est devenu un instrument de communication très importante et plus pour les organisations ou les personnes qui ont besoin de compenser les idées et les opinions qui sont versées depuis les grands pleins pouvoirs et Hugo dans son blog Qui beaucoup une sandale parle de l'une Internet publie.
L'un du problème qui tous les travailleurs et travailleuses de ce pays préoccupe est la crise du système dont nous souffrons et je commencerai avec à la réflexion qu'Alberto Garzón réalise dans son blog sur la nécessité urgente d'une Grève Générale.
Ceronegativo nous compte comme ils font dans son boulot pour couper la crise “en économisant l'espagnole” et il est en descendant la température du chauffage depuis ici je lui recommande qu'emporte une couverture.
Il unest commente sur le plan qu'ont les "socialistes" dont nous travaillons jusqu'à 67 ans et sur l'ILP que nous allons réaliser la Gauche Unie contre le pensionazo et pour blinder, pour donner une stabilité et une sécurité aux pensions.
Le VIH-Sida est devenu un problème mondial, bien qu'à l'Espoir Aguirre il ne loue pas ce sujet importe beaucoup et à réduit les subventions aux organisations et aux associations qui travaillent dans ce sujet dans la Comunicad de Madrid, Reyes Montiel parle de cela.
Nous continuons de parler de Madrid et ce sont comme certains ils utilisent la politique et il est en insultant et en disqualifiant quand n'existent pas des arguments et cela ceux du PP le font très bien, dans A un salaire de Moscou un exemple
Le juge Baltasar Garzón cela d'une actualité après les plaintes de la d'extrême-droite qui a souffert pour enquêter sur le franquisme. Manolo Ruda, pend à son blog un manifeste dans sa défense.
> Oto un sujet sur la mémoire une histoire a été l'hommage aux membres de la Division Bleue réalisée cette semaine dans le Cimetière de l'Almudena. Kabila nous parle de “la Mémoire Historique fasciste”
Samedi Ezker Batua a célébré sa Convention Politique, Roberto Cacho dans son blog Musical, un poète et un fou et Mikel Arana dans son blog Parlamentuan nous donnent sa version de l'arrivé.
Aujourd'hui un dimanche nous nous sommes éveillés avec la réponse à la campagne d'envoi de postes Au Défenseur du lecteur Du Pays, Hugo nous compte que se plaindre sert.
Non tout IU est politique dans I love et un exemple est celui de Ceronegativo qui compte comme “ils lui mettent des fiches” au fils de son ami.
La semaine prochaine plus et mieux par Hugo Martínez Abarca dans son blog Qui il comprend beaucoup.

Arsenio Escolar, me lit aussi.

Je vous ai déjà commenté que Pierre J. lit mon blog. Et voilà qu'il doit lui plaire parce qu'il s'est inspiré de moi deux fois.
Je vous ai aussi dit que ce n'était pas la chose unique, qui est Tombée Lara me lit aussi.
Certains ont des centaines de visites quotidiennes. J'ai moins de lecteurs, mais de plus de qualité.
Mon dernier lecteur insigne est Arsenio Escolar. Ce bon homme doit avoir inspiré de mon post sur UPyD pour écrire quelque chose que j'avais déjà dit. Eh bien, il ose se faire certas les prédictions qui me semblent très risquées. Mais chacun a son style.
Malvenido Arsenio à abloguear. Ainsi il n'était pas, mais il lui se ressemble.

Friday, March 12, 2010

Fiajos bien sur la photo


Déjà ? Fixe-vous encore une fois que je crois que vous ne regardez pas à vraiment importane. Il vaut: Ne vous êtes-vous pas rendus compte que, pour avoir une chevelure si noire, la moustache le ni voit du blanc qui est ?
Que tu couds.

Thursday, March 11, 2010

Au sujet de la polémique sur les pensions annuelles des députés

Ils ont l'habitude d'arriver périodiquement à mon e-mail, aux postes qui expliquent les hauts salaires qui ont des droits distincts institutionnels de l'état; que si Montilla est celui qui touche plus et double dans un salaire le président du gouvernement qui s'ils reçoivent par des diètes une barbarie d'euros que si la dépense de sécurité etc. Y tout de suite ils ont l'habitude ils apportent une information comme si on touchait un salaire viager pour avoir été délégué quelques années. Il a l'habitude de varier le susdit selon le mail qui reçoit.
Dans des époques aussi difficiles que l'actuelle, il est sangrante de voir spécialement les quantités qui touchent ses seigneuries, avec les compléments et des diètes extra.
Je vais commencer par éclaircir que ce qui écrit est fidèle adepte des mesures qui ont pris dans la communauté de Paris. Je crois que les droits institutionnels ne devraient toucher plus que le salaire moyen de ce pays, qu'il est dans 20.438 euros brute par an.
C'est plus complexe qu'il paraît à première vue, parce que nous nous trouvons devant cela avec le problème de comment stimuler les gens qui dans sa vie professionnelle ont plus un salaire, et c'est pourquoi, probablement ayez plus de dettes acquises. Comment pourrait-il les affronter ?. Ne nous trompons pas, dans le capitalisme tous avons des dettes dans un moment de notre vie. Si tu es professeur, et tu penses que tu le vas être le reste de ta vie, tu adaptes ton niveau de vie à ton salaire, à hypothèque, à lettre de la voiture, de l'abécédaire pour que les enfants puissent étudier dehors... Comment pourrais-tu accepter un travail de député avec une réduction substantielle de ton salaire et maintenir ton niveau d'endettement ou de prévisions vitales ?
Mais c'est qu'il ne faut pas être professeur, un professeur de secondaire toucherait déjà plus qu'un député. Pourquoi allais-je laisser ma place dans un institut me pour aller coller avec le reste de membres de la chambre ? Quelqu'un pourrait dire : "Ainsi iraient seulement ceux qui ont une vraie vocation de service".
Une sécurité ? Peut-être il allaient seulement, ceux qui pouvaient le lui permettre. Comme Pizarro, qui pourrait aller gratis. Quel son pour lui 3.400 euros par mois ? Ou pour Juan Costa qu'Young touchait-il un million d'euros par an dans Ernst and ?
Celui qui n'a pas de problèmes est Pizarro que comme il vient déjà forrao d'une maison, puisqu'il est un temps dans le congrès, et s'il s'ennuie, puisqu'il part. Un total va gagner beaucoup plus en dehors de la Chambre basse.
C'est compliqué.
Il est clair que tout cela est résolu dans un pays socialiste, où ils ne te pénalisent pas dans ton entreprise pour être charge publique de partis politiques déterminés, ou ton droit à un logement est respecté, ou le droit à l'éducation est un peu effectif et c'est pourquoi n'aie pas à faire des économies pour l'avenir de tes enfants...
Mais nous sommes dans un système capitaliste. C'est ce qui existe.
J'insiste, je crois que les salaires des charges publiques doivent être en accord avec la population qu'ils représentent. Et peu de gens touchent les 169.000 euros par an qui disent que Montilla touche.
Dit cela, je veux me concentrer sur ce qui verdaramente me préoccupe.
Dans l'un de ces mails, on disait que, par le fait de lui être, les députés touchent le reste de sa vie un salaire comparable avec la pension maximale.
Un bon, il n'est pas un saint de ma dévotion, mais je veux citer la lettre qui a commandé aux médias en essayant de countersoustraire cette campagne.
Un bien, en me basant sur cette information je vais faire un calcul plein de conjectures. Il n'est pas un peu scientifique, si non que je me base sur des intuitions et des approches, et tels quels, peuvent être erronées :
Avant tout il faut faire comprendre que les députés n'ont pas de droit à une pension annuelle. À ce qu'ils ont un droit il consiste à un complément sur la pension, en ce qu'il élève la rétribution précitée à la maxime que l'on peut percevoir par l'état.
Il reste clair que je suis contre de cette mesure qu'IU a votée en son temps dans contre et que jusqu'à ce que je sais, personne d'IU ne l'a demandée.
Un complément de pension se paie une fois mis à la retraite, dès que ceux qui pensent qu'un député, il l'arrête d'être et le reste de sa vie touche un salaire viager en accompte du congrès, sont erronés.
Dit cela, le Bon, non le chanteur, dit dans sa lettre que ce complément (dont j'insiste que je suis contre) lui touchent jusqu'à la date 70 députés et sénateurs. Oui, 70.
Si je ne me trompe pas, la retraite maximale que l'on peut toucher dans ce pays est de 32.068, des euros brute par an. Nous allons déduire 17 % (quantité arbitraire) entre des sifflets et des flûtes pour voir tout ce qui reste dans net dans les uns : 26616 annuels. Ce qu'il donne, distribué dans 14 paiements, un salaire moyen de 1901 euros mensuels. Lequel, il tient très bien en compte les pensions de veuvage, de maladie, etc.
La pension moyenne dans ce pays est de 874 euros par mois. C'est pourquoi, en comptant qu'un député touchait une pension moyenne de ce pays (qui s'étonnerait déjà,) un complément devrait recevoir en accompte de tous les Espagnols de 1025 euros mensuels. Nous savons que de 3000 et je pique des députés et des sénateurs, 70 l'ont seulement demandé. Il vaut, 70 x 1025 = 71750 euros au mois que multiplié par 14 paiements ils font un prix aux coffres de l'état de : 1.004.500 euros par an.
La mesure si critiquée, que tant il fait mal qui nous fait saigner tant par les yeux... coûte aux Espagnols (dans quelques calculs très généreux pour les indignés) un million par an d'euros.
Tandis que nous parlons de ce million par an d'euros, nous ne parlons pas de 50.000 que nous lui avons offerts aux banques. Ni de ceux que la famille royale nous coûte (quelqu'un rappelle-t-il les 700 millions de pesetas que nous nous usons il y a quelques années dans acheter un pisito au principito ?).
Et tandis que nous parlons d'un million par an d'euros, avec lequel à peine on pourrait beaucoup faire, nous ne parlons pas des 50.000 millions que le gouvernement a découpés dans des politiques sociales, ou comme les ouvriers nous payons plus à une ferme que ceux qui font une ingénierie financière.
Saviez-vous que nous lui avons donné à l'Église - seul une voie imposés - 253 millions d'euros ? Quoi est-ce qu'au palais royal nous lui avons donné en 2004 7,5 millions d'euros ?
Savez-vous tout ce que touchent les conseillers de la banque Santander ou du BBVA ? Non, nous ne le savons pas. Pourquoi ne le savons-nous pas ? Parce que ces banques sont actionnaires de la majorité des médias que nous consommons, et ces médias préfèrent que nous parlions du peu que vont les députés au congrès, des pensions annuelles supposées... à ce qu'ils gagnent une année après une année.
La politique est de marquer des priorités. S'il faut montrer notre colère, qui consiste contre les salaires stratosphériques en ce qu'ils ont les conseillers de l'IBEX, les spéculateurs, les sportifs d'élite et autre engeance.
Et quand nous aurons redistribué la richesse qu'ils possèdent, peut-être il ne faut pas descendre le salaire à ses seigneuries parce que le nôtre sera monté à son niveau.

Le madridismo montre son rejet de la monarchie.

Je vous ai déjà expliqué que l'on peut être du Madrid et de gauches.
Puisque hier un dimanche, les rois ont reçu l'une sifflée important dans la finale du verre du roi de basket-ball entre le Madrid et le Barça. Elle est sifflée c'était une claire manifestation des penchants là présentes : culés, merengones et un Basque libre il y aurait, dis-je.

Wednesday, March 10, 2010

Une semaine Rouge de Hugo

Vendredi je passe un examen du carnet et je n'ai presque pas tout à fait de temps pour. Presque il m'oublie mettre la semaine rouge. Là il va :

Depuis le Bois dans De grand lit, la semaine rouge tourne Chamberí, d'où il n'a jamais dû sortir, puisque tout le monde sait que c'est le centre névralgique de la gauche mondiale.

Pour échantillon un bouton : Fausto Fernández a demandé à Ignacio González (le vice-président de la Communauté de Madrid qui selon les espions de Grenadiers se promène dans la Colombie avec bourses de contenu inconnu) par le terrain de golf de Chamberí, avec lequel il a fait du bien aux associés de son frère et de son beau-frère et lequel la justice a déclaré illégal. “Cela tu ne me le dis pas dans la rue”, a répondu le dirigeant du parti des hijoputas et des peignes universitaires. Le Faste est sorti à la rue, il a pris un ordinateur, et on l'a dit dans la rue.

Le 16 février 1936 le Front Populaire a vaincu dans les dernières élections démocratiques dans beaucoup d'années : la droite lui a dit à la citoyenneté que cela on ne le disait pas dans la rue. Dans l'Acier Blochevique nous avons lu un souvenir de cette victoire de la gauche et, donc, de la démocratie. Tandis que, Rafa nous comptait depuis Kabila quelques journées intenses sur une mémoire historique.

La semaine politique a tourné sur nouveau un mantra à la mode : un pacte de l'État qui nous permet de renoncer à certains droits acquis et à n'importe lequel que nous cherchons à conquérir. Inés situait le débat en face des mots creux. Dans le Congrès des Députés il était discuté, probablement, sur la crise. Dans les moyens on ne pouvait pas trouver le discours de Gaspar Llamazares, délégué de la troisième force politique : il fallait le chercher dans le blog d'Àngels. Parfois les députés gagnent le salaire, par beaucoup de démagogie qui existe à ce sujet : viul il réfléchissait aux rémunérations et aux privilèges de nos hommes politiques.

Sans nécessité de pactes, presque tous les partis se mettent d'accord dans quelques choses : tandis qu'en Hollande cassent les gouvernements pour sortir de l'Afghanistan, en Espagne la Commission de Défense a autorisé l'envoi de plus de troupes à la guerre avec le vote pour du parti socialiste espagnol, de PP, de CiU, PNV et UPyD tandis qu'IU maintenait le drapeau de Non à la guerre. Ceronegativo nous le comptait en se demandant par la pince fameuse. Tandis que, dans Diseccionando Pays nous voyions les manipulations qui existent sur cette guerre d'occupation : nous pouvons voir sur des photos des soldats d'infanterie navale un Américain en défendant un père et sa fille des mauvais talibés … Le mauvais consiste en ce que le même père et la même petite fille sont défendus par des soldats d'infanterie navale distincts et dans des poses distinctes à des éditions distinctes des quotidiens ce qu'il fera qu'un méfiant soupçonne que la photo n'est que théâtre pour nous convaincre des bontés de la guerre.

Pour la pince qu'il faut mettre dans le nez après avoir vu comment la mairie dans laquelle je vote plus le parti socialiste espagnol il l'y a de l'Espagne, de parla (Madrid), un sol public se régale pour une école ordonnée. Dans les Mouches dans la Soupe on signale par réussite que ce qu'il nous devrait différencier à la gauche est la défense du public.

Dans la RASD une course cycliste solidaire avait lieu avec le peuple saharien de celle qui se doit un compte dans Gotes d’aigua. À l'Euskadi c'était Mikel Arana qui réfléchissait à la possibilité d'obtenir la paix à la suite de la déclaration récente de la Nationaliste basque Gauche. Et Luis Ángel Aguilar nous comptait l'initiative curieuse des Pazyasos. Et tandis que tant de gens font des choses pour obtenir un monde plus juste et pacifique, les autres suivent engagés dans la censure, la menace et l'inquisition : dans L'Espeto Victorien on dénonçait la victoire de l'intégrisme chrétien qui a réussi à fermer une exposition parce qu'il ne plaisait pas aux nouveaux torquemadas que d'autres personnes pussent librement la voir.

Enfin, je veux signaler un texte qui m'a beaucoup plu : nous sommes un pays dans lequel il y a très peu de militantisme politique et dans lequel la culture peu abondante démocratique stigmatise le militantisme politique. C'est pourquoi il fait une illusion voir comment l'utilité du militantisme est reconnue quand nous profitons d'elle pour donner une voix aux collectifs qui n'auraient pas de voix sans IU. Manolo Lay compte son cas, qui est représentatif de certains des gratifications que le militantisme permet dans la Gauche Unie.

La semaine prochaine La Semaine Rouge sera élaborée par Lidia. Comment ça va très loin de Chamberí, il est possible qu'il ne lui sorte pas mal. Ayons confiance en cela.

Sur Orlando Zapata

Ma position avec la Cuba, j'ai fait comprendre bien son peuple et sa politique dans un post il y a 8 mois. Je ne suis pas une personne qui se cache. Je n'ai pas pu écrire sur ce sujet avant pour deux motifs : il était lié par des sujets personnels et il ne me plaît pas me précipiter.
Il y a des gens qui préfèrent être le premier à écrire sur quelque chose et à marquer rapidement une position. Cela a l'habitude d'apporter une grave erreur, le manque de rigueur.
Je vais faire comprendre une chose depuis le principe pour que personne ne déforme mes mots; je regrette toute mort dans tout endroit du monde. Je n'ai jamais été partisan ni de la torture, ni de la peine capitale ni rien de pareil.
C'est pourquoi, élever à la hauteur d'un martyr politique Orlando Zapata me semble un peu si démesuré comme injustifié. De plus, le considérer un activiste politique, est de manquer à la réalité.
Yoani Sanche z est une activiste politique. Une menteuse, oui, mais un activiste. Sa position et son activité est connue. Nous connaissons la position et l'activité de beaucoup de Cubains qui sont contre du système politique qui existe en Cuba. Même nous connaissons l'existence d'un groupe de femmes organisées qui se manifestent en Cuba chaque fois qu'ils considèrent qu'ils ont à le faire.
Je ne vais pas entrer dans débattre des positions politiques de ces gens, parce que je crois qu'il est déjà plus que réfuté par les personnes qui me méritent beaucoup de respect et qui le rendent meilleur que moi.
Mais personne avec un minimum d'objectivité ne peut rayer au système cubain de dictature, quand dans ce pays les adversaires se manifestent quand ils veulent, écrivent ce qu'ils pensent et aucun d'eux, pour se manifester ou pour penser, il a foulé la prison.
Le Socialisme cubain, comme tous les systèmes politiques, a ses réussites et ses erreurs. Ceux que nous considérons des marxistes nous faisons une analyse plus d'objectifs possibles (sans négliger l'idéologie) pour nous approcher au maximum de la réalité. Seulement à travers d'une analyse réaliste nous pouvons arriver à quelques conclusions adroites. Je ne fais pas de défenses à outrance, ni des critiques irraisonnables sur rien. Mon idéologie vient marquée par l'analyse que je fais, pas à l'envers.
Pour moi le marxisme est une méthode d'analyse d'approche scientifique. Et comme marxiste, j'essaie de me ne pas laisser mener par des modes, des étiquettes ni rien par le style.
Dans une dictature pas perimite le droit de réunion, ni la manifestation ni l'opinion. En Cuba ces trois droits sont pleinement garantis aujourd'hui. Pour ne pas parler de la capacité de choisir ou d'être choisi pour toute charge publique.
Il y aura des gens qui me diront que je suis erroné. L'agréé, mais qu'il me démontre avec données ou faits dans quoi je le suis.
Un proverbe cela, je reprends le sujet initial.
Chaque critique, à l'intérieur ou en dehors de l'île, qui est faite par rapport au gouvernement ou le système cubain, il est amplifié au maximum. Jusqu'à tel point que la Commission dissoute de Droits de l'homme de l'ONU, en 2003 a élaboré une liste de prisonniers supposés politiques (je ne dis pas qu'ils existent, si non qui a élaboré une liste où on disait qu'ils existaient), où dans aucun côté n'apparaît son nom.
C'est pourquoi nous ne connaissions pas l'existence d'Orlando Zapata, parce que jamais il a été un activiste politique.
Il faut être rigoureux avec les affirmations que nous faisons.
Cet homme est entré dans la prison pour la première fois en 1988 pour commettre des délits du type "l'Escroquerie, les Lésions, la Possession d'Armes blanches, d'Altération de l'Ordre, les Dommages et la résistance."
Si cela ce sont des délits politiques, 80 % des prisonniers de ce pays devraient recevoir la même considération.
Selon Le Monde, la grève de la faim a été "après que le Gouvernement se refusait à accepter ses demandes, entre celles-ci, à habiller les vêtements blancs de dissident et non l'uniforme de reclus commun. De plus, il a protesté contre les conditions dans lesquelles se trouvent les détenus politiques et il s'est refusé à manger le ranch qui fournit le pénal pour, dans son lieu, se nourrir seulement de la nourriture que, tous les trois mois, sa mère lui portait à la prison".
Ce martyr politique l'est de pour vouloir habiller des vêtements de couleur différente de celui du reste de reclus. C'est "l'activité unique politique" dont nous avons eu une connaissance par tout moyen de communication.
Il y a des gens qui critiquent l'action du gouvernement cubain dans ce cas. Certains croient qu'il est mort par omission du gouvernement. Qu'est-ce qui devrait avoir fait ? Le nourrir de force ?. L'alimentation inévitable est considérée comme une forme de torture, puisqu'il va contre la détermination libre d'un individu.
Qu'est-ce qu'il s'aurait dit si on avait nourri de force Orlando Zapata ?
Il faut critiquer la Cuba, comme en Venezuela, en Espagne ou l'Allemagne, dans ce que nous considérons que le mal est fait. Mais il ne faut pas déformer la réalité pour justifier nos opinions.

Tuesday, March 9, 2010

Et maintenant la Venezuela

Après l'orgie politique et mediática que certains se sont donné des nouvelles de la Cuba étant inventées, maintenant frappe l'autre ennemi à battre, la Venezuela.
Soyez probablement hasard, mais il faut voir que la vie a des coïncidences.
La couverture de presque toutes les éditions digitales des grands médias ils comptent quelques jours en donnant la nouvelle dont il y a des connexions entre ETA, Chavez et les FARC.
Tout on en basant sur que le Juge Velasco impute des certains délits au gouvernement de la Venezuela, avec épreuves que selon elle Interpol, ils sont illégaux.
Ces épreuves sont les obtenues d'un portatif qui s'est emparé à un dirigeant des FARC, mort dans une opération de l'armée colombienne. Un proverbe portatif, nous nous rappelons, a été deux jours à des mains de l'armée colombienne, jusqu'à ce qu'il se livrât à l'INTERPOL.
Et de ces épreuves, j'insiste, non reconnues comme valables par propre Interpol, un juge sort une imputation du puñeta.
Nous pouvons sortir de cela deux conclusions rapides :
1) Contre les gouvernements de gauche à l'Amérique latine il vaut tout mensonge ou vérité moyenne, les pour essayer de discréditer. Un effet sera généré toujours cassée dans les moyens, et ses porte-parole s'ajouteront avec discipline.
2) Dans ce pays la transition s'est rendue dans beaucoup d'enceintes, mais la judicature s'est habilement échappée.

J'insiste, en Espagne les moineaux tirent contre les chasseurs.

Oui des amants / as des amis / as. Je vous ai déjà commentés dans une occasion, si vous ne le saviez pas, que dans ce pays dans lequel nous vivons, les lutteurs contre la corruption étaient dénoncés par les corrompus présumés.
Le cas est répété, et encore une fois ils tirent contre IU. Des curiosités de la vie.
Dans cette occasion l'honnête a été Marina Albiol, déléguée des cours valenciennes. Cette collègue a commis le grave délit présumé de distribuer en 2007 l'adhésif que ce post accompagne.
Pour distribuer cet adhésif, le Tribunal Supérieur de Justice - qui n'a pas apparemment de choses plus importantes à faire de la recherche - il a ouvert des démarches par des injures et des calomnies contre la députée d'Esquerra Unida du Pays Valence.
Le plaignant a dans son dos 8 délits imputés. Non pour distribuer des adhésifs, si non par subornation, prévarication, délits contre le trésor public... Et ils doivent être graves, parce qu'il compte quelques années imputées, et les cas ne finissent pas d'être jugés.
La curiosité est donnée, que les titulaires des tribunaux chargés d'enquêter sur les cas contre Fabra, ont l'habitude de partir sans terminer son travail. Tout malheur pensé dirait qu'il consiste en ce qu'ils reçoivent des pressions pour partir. Mais comme à ce blog nous ne nous caractérisons pas par penser un malheur, nous ne le dirons pas.
Fabra est un oncle suertudo, puisque a apparemment frappé la loterie à trois occasions. La dernière fois ont été deux millions d'euros.
En changeant d'un sujet, je vais vous compter une anecdote de jeunesse : un professeur de mathématiques dans l'institut nous a expliqué qu'était habituel blanchir un argent sale (c'est-à-dire, rendre l'argent illégal légal) en achetant des billets lauréats. La mécanique est simple, tu as, pour mettre, 2,3 millions d'euros chez un noir. Tu t'informes qu'à ton voisin ont frappé 2 millions à un tirage n'importe quel. Tu t'approches et tu lui dis "regarde un voisin, je t'achète le billet par 2,3 millions".
Si le voisin accède, tu as perdu 0,3 millions d'euros, mais tu as gagné la possibilité d'utiliser 2 millions d'euros qu'avant tu ne pouvais pas.
Je ne sais pas pourquoi je me suis souvenu de cette anecdote.

Monday, March 8, 2010

Une semaine Rouge de Mouches dans la soupe

Je vous laisse avec la sélection de cette semaine, au compte des Mouches dans la Soupe :

Gorka Esparza, notre correspondant dans Brobdingnag se fait l'écho d'une manifestation qu'a pour objectif durcir la Loi du Mineur et pointe, promptement, les responsables politiques qui se mettent à la photo d'une réforme conservatrice.

David, on a fait un écho de l'une des nouvelles de la semaine : les joies pour le corps que quelques juges se donnent en accompte de mettre en rapport le lard à la vitesse. Dans son blog il y a un article du plus complet sur la saynète montée par Monsieur Velasco.

Leolo pose la question de porqué les marchés financiers n'attaquent pas à quelques pays hyperendettés et il arrive à la conclusion de ce qu'un chien ne mange pas de chien (bon, Javier Burón le dit autrement plus adroite, avec analyse et données).

En accompte du contrat il sonde que la patronale a essayés de nous mettre, Antonio considère que déjà seulement nous manquons du droit de coup de pied. C'est ce qu'a celui que dans cet État il continue d'existe l'une patronale du XIXe siècle et de baisser, dont la considération des droits des travailleurs est restée faite le portrait. Des jours plus tard, Ceronegativo a agrandi le droit de coup de pied de la CEOE de marquer les travailleurs. Exagéré ?. Vous ayez confiance en Díaz Ferrán et ne courez pas …

Inés nous compte l'indignation que nous avons senti plusieurs quand nous avons lu quand le Cour suprême a admis à une formalité le personación de l'imputé comme Courroie contre le Jeune garçon et il le met en rapport aux postes de l'administration qu'Aguirre, si généreuse elle, met à la disposition de plus d'ultra. Des rois elle se déclare aussi nuie et offensée par le même sujet dont les racines, ils se rappellent, ils plongent ses racines dans le parlement madrilène, avec trois députés imputés en votant à un choeur avec ceux du PP.

En suivant avec une justice plus pareille à une saynète, Viul nous met une photo d'un Fabra à un costume de raies. Dans ce pays du conte à l'envers, Marina Albiol a été dénoncée par le personnage illustre de moeurs de Castellón. Les moineaux lancent les chasseurs. Hugo fait aussi une campagne d'appui à la députée. (si leur ne fonctionne pas le lien, accusez à l'assemblée le trócola).

Un autre notre correspondant, celui-ci dans Kabila, envoie un course à ceux qui nous disent que la Cuba fracture la gauche et il les oublie inclure entre les forceps de la séparation, ces éléments de la politique nationale qui supposent plus de barrières que le défaut du San Francisco entre IU et le parti socialiste espagnol.

Iñaki se fait un écho du débat initié au parlement catalan sur l'initiative législative populaire pour éliminer suis-les de braus. Beaucoup d'envie me me donne ne pas être le catalan dans ces moments par le respect montré par le Parlement pour débattre d'une initiative populaire. Dans les communautés gouvernées par le PP, tandis que l'éducation et la santé commencent à avoir à être considérées comme politiques en voie d'une extinction comme il nous rappelle les Fenêtres du Faucon, se déclare aux taureaux Bien de l'Intérêt Culturel. Une question de priorités, je fixe.

Angels n'oublie pas de la tragédie grecque. Cela dont les images sont réduites à l'expression minima des journaux télévisés et qu'un peuple nous démontre dans une lutte par ses droits. Angels pointe à la responsabilité de Goldman Sachs dans le naufrage du pays hellène.

Et la semaine prochaine sera Fernando, un correspondant privilégié de la scie madrilène depuis la Carrière alpedreteña celui qui a à effeuiller la semaine rouge.